****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Décision disponible en texte intégrale sur Net-Iris : Jurisprudence n° 17215 : Une communication par SMS est une preuve admise en justice On sait que l'enregistrement d'une conversation téléphonique privée, effectué à l'insu de l'auteur des propos invoqués, est un procédé déloyal rendant irrecevable en justice la preuve ainsi obtenue. S'agissant de l'envoi d'une communication par messages écrits téléphonique adressés dits SMS, constaté par huissier, la Cour de cassation décide de ne pas le soumettre au même régime juridique. En effet, dans un arrêt du 23 mai 2007, la chambre sociale de la Cour de cassation statuant sur l'admission, en tant que preuve, d'un message SMS dans le cadre d'une procédure en contestation de licenciement et d'une plainte pour harcèlement sexuel, a estimé que de tels messages pouvaient servir de base à une preuve admissible. En conséquence, le destinataire d'un message SMS peut utiliser celui-ci en justice comme preuve pour appuyer sa réclamation, car l'auteur du message ne peut ignorer le fait que le message est enregistré par l'appareil récepteur. "Si l'enregistrement d'une conversation téléphonique privée, effectué à l'insu de l'auteur des propos invoqués, est un procédé déloyal rendant irrecevable en justice la preuve ainsi obtenue, il n'en est pas de même de l'utilisation par le destinataire des messages écrits téléphoniquement adressés, dits SMS, dont l'auteur ne peut ignorer qu'ils sont enregistrés par l'appareil récepteur". En l'espèce, le juge du fond avait retenu que la faute grave invoquée par l'employeur à l'appui du licenciement, n'avait suscité aucune remarque de la part de l'employeur au moment des faits et que dès lors celle-ci ne pouvait pas être admise. Il avait aussi constaté que les pressions de l'employeur s'étaient traduites par un état dépressif de la salariée, que celle-ci avait été privée de son bureau et que le harcèlement, notamment établi par les SMS, avait eu des conséquences sur les conditions de travail de la salariée et son état de santé. Dès lors il a retenu la qualification de harcèlement sexuel et alloué des dommages et intérêts à la salariée.